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[Haïti] Le Président Jovenel Moïse, victime d'un assassinat politique ''Covid-19'' ?

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C'est ce mercredi 07 Juillet 2021 que le monde entier a appris avec sidération l'assassinat barbare du Président de la République de Haïti, l'un des seuls pays noirs de la planète, à avoir refusé catégoriquement de soumettre sa population à la vaccination anti covid-19, en rejetant au mois d'Avril dernier, les lots de vaccins Astrazeneca qui lui avait été attribués... C'est par un commando de mercenaires étrangers(vidéo) que le Président haïtien Jovenal Moïse a été abattu, dans un contexte géopolitique, marqué par la dictature sanitaire mondiale du Covid-19. Notons que cet assassinat ciblé fait écho à la mort soudaine des présidents John Magufuli et Pierre Nkurunziza, tous deux opposants catégoriques aux mesures sanitaires liberticides imposées par l'OMS, et tous deux (officiellement) morts pour cause d'une mystérieuse crise cardiaque...

Cela fait à peine un mois, notre confrère du courrier International titrait dans sa parution du 09 juin : "Inégalités. Haïti n'a toujours pas vacciné un seul de ses habitants.", expliquant :

«Haïti, l’un des pays les plus pauvres du monde, fait partie des nations ciblées par le programme de solidarité Covax pour recevoir un accès privilégié aux vaccins contre le Covid-19. En avril, en pleine polémique autour de la fiabilité du vaccin d’AstraZeneca, le gouvernement de Jovenel Moïse avait refusé la livraison des doses provenant du laboratoire suédo-britannique, invoquant les effets secondaires et les craintes généralisées dans la population.»

C'est donc par un acte de terrorisme international « bien orchestrée » que le Président Jovenel Moïse, 53 ans, a été mis hors d'état de nuire au plan vaccinal mondial de l'OMS, ce mercredi matin, par un commando de mercenaires étrangers lourdement armés, qualifié de « professionnels » par Bocchit Edmond, l'ambassadeur haïtien aux États-Unis.

Le véhicule du Président Haïtien Jovenal Moïse a été criblé de balles dans sa résidence par le dit commando armé qui parlait anglais, espagnol et français, selon des témoins de la scène.

Le Président Jovenel Moïse a été assassiné de sang-froid à son domicile, par des tueurs à gages internationaux, dépêchés en mission pour le liquider :

« Nous avons constaté douze orifices fait à l’arme de gros calibre et avec des projectiles 9 mm sur le corps du Président. Le bureau et la chambre du Président ont été saccagés. Nous l’avons trouvé allongé sur le dos, pantalon bleu, chemise blanche maculée de sang, la bouche ouverte, l’œil gauche crevé. Nous avons vu un impact de balle au niveau de son front, un dans chaque mamelon, trois à la hanche, un à l’abdomen. La fille du président Moïse, ainsi que la femme de ménage et le garçon de service étaient présents au moment des faits. Jomarlie Jovenel Moïse s’est cachée dans la chambre de son frère. La femme et le garçon de service ont été ligotés. Beaucoup de douilles de 5,56 et de 7,62 millimètres ont été retrouvées entre la guérite et l’intérieur de la résidence.»Carl Henry Destin, juge de paix suppléant de Pétion-Ville

Grièvement blessée par balles au cours de l’attaque, la femme du Président, Martine Moïse, contrairement aux premières informations reçues, n'est pas morte. Elle a été évacuée d'urgence dans un hôpital à MIAMI (USA) pour des soins intensifs, et aux dernières nouvelles, elle est en vie et son état se serait stabilisé.

Pour le sénateur américain Marco Rubio, cela ne fait aucun doute ! Ce sont des tueurs à gages internationaux qui ont été dépêchés pour éliminer le Président Jovenel. Il précise :

«Ce sont les signes d’une tuerie à gages soigneusement planifiée menée par des mercenaires étrangers. Les auteurs de ce crime grotesque devraient être identifiés et traduits en justice »Marco Rubio, sénateur américain

La police Haïtienne, a abattu 4 terroristes et 2 ont été arrêtés avec l'aide de la population.

Les terroristes qui ont assassiné le Président Jovenel

Un assassinat ciblé qui interroge...

Sur des vidéos amateurs filmées par des témoins, l'on peut voir et entendre distinctement les assaillants crier ouvertement «This is a D.E.A operation», en guise de signature officielle de leur action terroriste.

Rappelons que la D.E.A(Drug Enforcement Administration) est une agence fédérale américaine, chargée de lutter contre le trafic et la distribution de drogues aux États-Unis.

Cette scène est surréaliste à bien des égards. En effet :

  1. C'est la première fois qu'un attentat terroriste aussi spectaculaire est officiellement signé au nom d'une institution administrative d'un état-tiers, en l'occurrence les États-Unis d'Amérique, un peu comme tout "bon" terroriste islamiste présumé signerait son forfait par : "Allah Akbar !", sauf qu'ici c'est "This is a D.E.A operation !"
  2. C'est également la première fois, depuis le début du déploiement du plan mondial Covid-19, qu'un assassinat d'un Président de la République récalcitrant est perpétré de façon aussi brutale et spectaculaire.

S'il s'agissait d'envoyer un message fort à tous les gouvernements du monde qui seraient tentés de ne pas obéir à la dictature sanitaire de l'OMS et de sa mafia pharmaceutique et financière internationale, l'on n'aurait pas pu faire mieux.

Comparaison n'est pas raison, mais souvenons-nous des cas de mort subite (certes moins spectaculaire sur le plan médiatique...), des Présidents Pierre Nkurunziza et John Magufuli, qui étaient parmi les plus récalcitrants aux plans sanitaires "Covid-19" de l'OMS.

Cas du Président Burundais Pierre Nkurunziza

Nous étions au mois de mai 2020, lorsque le gouvernement du Burundi avait dénoncé la falsification grossière et l’extrapolation du nombre réel de personnes touchées par le coronavirus SARS-COV2(plus transformé en Covid-19 pour des raisons marketing...) par le représentant de l’OMS, le Dr Walter Mulombo. Les autorités avaient même expulsé à la mi-mai 2020 le représentant de l’OMS, le Dr Walter Mulombo, ainsi que trois autres de ses collaborateurs.

Le lundi 8 juin 2020, soit moins d'un mois plus tard, le monde entier apprenait la mort subite du Président Burundais Pierre Nkurunziza, à l'âge de 55 ans :

« à la très grande surprise, dans l’avant-midi du lundi 8 juin, son état de santé a brusquement changé avec un arrêt cardiaque. (…) Malgré une prise en charge intense, continue et adaptée, l’équipe médicale n’a pas pu récupérer le patient. »Journal Le Monde

Cas du Président Tanzanien John Magufuli

John Magufuli, c'était ce courageux Président africain qui a refusé de se faire imposer les mesures sanitaires de distanciation sociale et de port de masques obligatoire décrétées par l'OMS, misant sur une stratégie sanitaire locale reposant sur la mise au point de médicaments et de protocoles de soins issus de la médecine traditionnelle africaine.

Le Président John Magufuli, c'était ce Président qui avait révélé la supercherie mondiale des tests PCR : il avait fait tester un prélèvement issu d'une papaye et d'une chèvre, et tous les deux tests sont revenus positifs au Covid-19.

Le Président John Magufuli, c'est ce Président africain, qui avait accepté un prêt "Covid 19" par l'Union Européenne d'un montant de 27 millions d'euros remboursable, et qui a refusé d'acheter les matériels proposés par les entreprises européennes(masques, tests PCR, appareils respiratoires, ...), et qui a déclaré son pays exempt de Covid-19, rendant furieux les européens.

Sur cet extrait vidéo, le député européen allemand David McAllister faisait la déclaration suivante devant le parlement :

«L'Union européenne a accordé 27 millions d'euros d'argent des contribuables européens pour lutter contre les effets du COVID. Maintenant, nous avons un régime dans le pays qui dit qu'il n'y a pas de COVID dans le pays avec des explications plutôt bizarres. Donc, encore une fois, nous avons un gouvernement qui a refusé de suivre les directives de l'Organisation mondiale de la santé, un gouvernement qui a refusé de fournir des statistiques et nous leur donnons encore 27 millions d'euros. J'aimerais que vous informiez les membres de notre comité de l'argent que nous avons donné à la Tanzanie, quels étaient les critères pour donner cet argent et surtout ce qui se passe avec cet argent. Nous parlons de l'argent des contribuables européens et j'ai des difficultés à ce que nous accordions de l'argent à un pays qui n'essaie manifestement pas de coopérer de manière décente. Alors pourriez-vous s'il vous plaît répondre à ma question et si vous n'êtes pas en mesure maintenant, je m'attendrais à ce que vous me le fournissiez par écrit dans les 48 heures.»David McAllister, député européen allemand

Tout comme son homologue du Burundi, le Président Tanzanien, John Magufuli, est décédé le mercredi 17 mars 2021, des suites d'une mystérieuse crise cardiaque.

Enfin, précisons qu'il est possible que ces événements n'aient pas de liens de causalité bien établis, mais il faut savoir que même le hasard a ses limites que le discernement de l'individu doit librement déterminer.

Par Kouadio Kouamé

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